Notre équipe
Dre Karine Gauthier
M.Ps., Ph. D.
psychologue/neuropsychologue
présidente et co-fondatrice de la CPRPQ
« En améliorant l’accès aux psychologues et neuropsychologues dans le réseau public, nous serons en mesure de desservir les populations les plus vulnérables, de diminuer la souffrance et de prévenir plusieurs visites à l'urgence ainsi que des hospitalisations. »
Dre Ariane Giguère-Rancourt
Ph. D.
neuropsychologue
trésorière de la CPRPQ
«En améliorant l’accès aux psychologues dans le réseau public, nous avons l’occasion d’offrir des services indispensables à des personnes qui ne peuvent pas y avoir accès autrement. Nous contribuons à une société plus équitable où la santé mentale n’est pas dépendante des moyens financiers.»
Dre Jenilee-Sarah Napoleon
M.Sc., Ph.D.
psychologue/neuropsychologue
vice-présidente secrétaire de la CPRPQ
« En améliorant l’accès aux psychologues et neuropsychologues dans le réseau public québécois, nous disposerons de plus de ressources pour offrir aux personnes en difficulté les services spécialisés dont elles ont besoin dans des délais appropriés. Il s'agit d'un investissement à grand rendement dans le bien-être de la population. »
Dr. Kevin Brassard
D. Ps.
psychologue/neuropsychologue
vice-président liaison de la CPRPQ
« En améliorant l’accès aux psychologues et aux neuropsychologues dans le réseau public, on s’assure que la population n’ait pas à attendre entre 6 et 24 mois pour obtenir des services efficaces, durables et rentables pour la société. »
Christiane Flessas
M. Ps.
neuropsychologue
responsable des communications de la CPRPQ
« On ne peut plus se permettre de perdre la précieuse expertise des psychologues et neuropsychologues dans les réseaux publics de la santé et de l’éducation. Il est urgent d’améliorer la rémunération et les conditions de travail des psychologues et des neuropsychologues, afin de freiner leur exode vers le privé.»
Dre Félicia Meyer
M. A., Ph.D.
psychologue
administratrice de la CPRPQ
« En améliorant l’accès aux psychologues dans le réseau public, nous serons en mesure d'intervenir plus rapidement auprès de personnes en détresse, tant dans le réseau de la santé que dans les écoles, et ainsi de contribuer aux efforts en matière de prévention du suicide. »
Andrea Mariana Velez
M. Ps.
psychologue
administratrice de la CPRPQ
« Recevoir des services psychologiques dans un délai raisonnable permet de prévenir l’aggravation des problèmes de santé mentale et réduire les coûts liés aux interventions lourdes et prolongées. En investissant dans la prévention et la prise en charge précoce, nous pourrons ainsi réaliser des économies à long terme et alléger le fardeau pour le système de santé. »